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Journal de bord

12 mars 2011

Lisbeth

lisbeth

Lisbeth est une pièce de thêatre qui commence avec Pietr, narrateur. Lisbeth est personnage de leur histoire, le premier jour de leur rencontre. On assiste à un flash back, la pièce commence après leur histoire, Pietr raconte le tout début. Il y a deux niveaux d’adresse : celle de Pietr, directe et celle de Pietr et Lisbeth, de l’histoire dans l’histoire. Il y a deux endroits de récit, deux ambiances... Les personnages prennent en charge les didascalies, comme pour intimer à l’autre ce qu’il doit faire ou ne pas faire, pour exprimer un souhait. Pietr et Lisbeth ont des corps de 40 ans, "pas des corps parfaits" ; ils ont de la chance "parce que les gens ont des problèmes : à tous il leur manque un morceau." Pietr va perdre une phalange, Lisbeth un enfant. C’est comme si l’amour nous enlevait une partie du corps mais pas une partie vitale : un doigt, une jambe, une oreille, la voix…etc…
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12 mars 2011

Macadam Cowboy

19013400Joe Buck, blond et beau gosse, quitte sa petite bourgade du Texas pour monter à New York, où il espère se faire entretenir par des femmes riches. Mais la dureté de la ville lui fait rapidement perdre ses illusions. Seul, sans un sou, il fait la connaissance de Ratso Rizzo, un petit Italien chétif, boiteux et tuberculeux. Parce que ce dernier a l'air encore plus seul que lui, Joe accepte de partager son appartement miteux. À l'opposé l'un de l'autre, ils partagent pourtant la même misère dans les bas-fonds new-yorkais, s'accrochant au même rêve : partir vivre sous le soleil de Floride...

 En voyant ce film, on comprend pourquoi il est devenu un classique. Il y a une histoire tragique, drôle, terriblement humaine. Il y a aussi et surtout les deux marginaux, inadaptés socialement, qui font à la fois pitié, sourire et pleurer. Dans un premier compte , Macadam Cowboy s'octroie un principe simple : New York est la ville du succès, de l'argent ; seulement au cours du film , deux personnages sympathiques s'allient pour le bonheur du public , car d'un côté un personnage sûr de soi , séducteur , de l'autre un homme simple , calme , mais trop complexé .

12 mars 2011

Le peuple de l'herbe

1048218210 Le Peuple de l'Herbe est un groupe de musique français dont le genre évolue entre la drum and bass, l'acid jazz, le trip hop et le hip hop formé en 1997 originaire de Lyon. Avec un nom pareil, pas besoin de se demander très longtemps si nos amis du Peuple de l'Herbe composent sous influences ou non. Toutefois, si les membres du groupe ainsi que leurs complices ont autant de talent, ce n'est pas seulement parce qu'ils puisent quelques inspirations dans des volutes de fumées psychédéliques, mais parce qu'ils maîtrisent de A à Z, l'art de mêler avec brio dub, hip hop, reggae, electro, rock, groove et jazz. Une alchimie toujours parfaite dont le résultat débouche sur une musique d'ambiance tonique véritablement jouissive (quoique parfois étrange).

5 décembre 2010

When You're Strange

movie_9073_posterLoin d'être une banale compilation des plus beaux clips des Doors ou un simple rappel d'informations connues de tous, "When You're Strange" nous apparaît au contraire rapidement comme un vibrant hommage à l'un des plus grands groupes de l'histoire du rock, sans jamais tomber dans une facilité qui lui eût sans doute été fatale. On en vient même à se passionner (mon immense amour pour le groupe aidant peut-être un peu aussi...) pour ces images d'archives reconstituant parfaitement une époque trépidante sans oublier pour autant de rester réaliste sur chacun des membres, les difficultés et les périodes creuses étant elles aussi abordées sans détour. Un incontournable du genre d'autant plus lorsqu'on est déja fan du groupe.

5 décembre 2010

Hocus Pocus

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Hocus Pocus est un groupe de rap, hip-hop français formé en 1995 à Nantes, principalement influencé par la scène jazz rapaméricaine des années 1990. Je n'ai jamais vraiment accroché au rap/hip hop mais leur excellente alchimie musicale permet une redécouverte totale du genre. Le groupe est constitué d'un guitariste/chanteur, un bassiste, un pianiste et un batteur/cuivre. Les thèmes sont intelligemment abordés (notamment pour critiquer notre société) ce qui rend ce groupe très comparable a "Tryo".

 http://www.deezer.com/listen-1109710


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5 décembre 2010

Kick-Ass (film)

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Synopsis : Dave Lizewski est un adolescent gavé de comics qui ne vit que pour ce monde de super-héros et d'incroyables aventures. Décidé à vivre son obsession jusque dans la réalité, il se choisit un nom – Kick-Ass – se fabrique lui-même un costume, et se lance dans une bataille effrénée contre le crime. Dans son délire, il n'a qu'un seul problème : Kick-Ass n'a pas le moindre superpouvoir... Le voilà pourchassé par toutes les brutes de la ville. Mais Kick-Ass s'associe bientôt à d'autres délirants copycats décidés eux aussi à faire régner la justice. Parmi eux, une enfant de 11 ans, Hit Girl et son père Big Daddy, mais aussi Red Mist. Le parrain de la mafia locale, Frank D'Amico, va leur donner l'occasion de montrer ce dont ils sont capables...

Jubilatoire, extraordinaire, régressif et bien sûr très réussi... Tout y est de haut niveau, les comédiens, l'histoire, les dialogues, les scènes. Beaucoup inspiré de Matrix pour les combats (certaines scènes copiés surtout la fin) et de l'humour à la Kill Bill rendent cette comédie très bonne et très jouissive. On prend un plaisir énorme sur un film exceptionnel de décalage, de drôlerie et de tension. Un dosage parfaitement réussi et une super alchimie.  Et pour un film d'ado, pas de gnan-gnan, pas de chichi, mais du bang-bang, du pif-paf, et du boum-boum. A voir absolument...

5 décembre 2010

Une rentrée en image

Le mardi 14 septembre, nous avons eu l'occasion de partir avec la classe pour une visite guidée dans différentes expositions des rencontres d'Arles.

Nous avons tout d'abord rencontrer un photographe professionnel qui exposé un travail exigé par la mairie d'un village situé en montagne. Ce travail consisté à prendre des photographies en respectant la prise de vue d'un livre regroupant différentes illustrations de paysages de la région. Nous avons donc pu voir 28 images datant de 1850 et leurs photographies respectives actuelles.

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Cette exposition ne m'as pas vraiment touché, malgré quelques changements pour un meilleur rendu, ces reproductions manquées de créativité et le thème abordé (la conséquence de l'humain sur la nature) à déjà été vu et revu donc inutile à ressasser selon moi.

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Nous avons ensuite assisté à l'exposition de Zhang Dali. Il dénonce dans son exposition les trucages photographiques commis par des régimes autoritaire asiatiques. Celle que j'ai relevé dénonce Mao où dans un journal il ce fait acclamer par une foule. Sauf qu'en réalité, ce montage a été réalisé à partir de deux photographies, une avec Mao faisant mine de recevoir des acclamation alors qu'il est seul et une avec uniquement une foule qui acclame.

 

 

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Une des exposition qui m'as le plus plu et sans doute l'exposition Polaroïd. Le rendu mauvaise qualité et de petit format force une réel idée derrière la photo. Pour la plupart j'avais l'impression qu'elles me racontées une histoire. Celle qui m'as le plus marquée est la photographie où l'on peut voir un homme alcoolisé un verre vide à la main.Il est face a un dessin d'un visage souriant dessiné par une tache de vin. Selon moi, la photographie exprime la dépression de l'homme qui espère par l'alcool retrouver le sourire. Malgré tout il essai de ce donner un faux semblant de joie en dessinant une tête souriante.

5 décembre 2010

Les rencontres d'Arles 2010

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Courte vidéo pour présenter globalement les expositions à Arles:http://vimeo.com/16858386

5 décembre 2010

Le baiser de l’hôtel de ville

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Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau.On constate sur cette photo deux amoureux s'embrassant sur un trottoir encombré de passants. Tandis que la plupart des personnes présentent sur la photo sont habillés sans originalité pour l'époque (1950), le personnage central est habillé décontracté ce qui provoque presque un anachronisme. C'est une des raisons pour laquelle cette photo me plait, ce décalage donne quelque chose d'intemporel malgré les voitures du second plan. Le fait que les passants est un air pressé et qu'ils ne prêtent pas regard (ou discrètement) aux amoureux illustrent bien le coté stressant de Paris alors qu'eux prennent leur temps et semblent être totalement inconscient ce qui illustre parfaitement le stéréotype de la romance à Paris. 

 

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